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Vanessa est intervenue dans notre maison, nous avons mesuré les différentes sources de perturbations et les avons neutralisées. Notre sommeil, notre concentration est notre vitalité sont bien meilleurs.
Il y a des lieux dans notre maison où nous ne restions pas longtemps qui sont désormais habitables (au-dessus et à côté de compteurs électriques); mêmes nos plantes vont mieux.
Nous tenons à souligner l’engagement de Vanessa qui cherche jusqu’à vraiment trouver la meilleure solution à différents problèmes parfois complexes.
Son accompagnement va jusqu’à vous conseiller et installer des petits dispositifs efficaces et adaptés, elle est très à l’écoute et pleine de ressources.
Nous avons aussi organisé un atelier d’information et un atelier pratique afin que les personnes intéressées puissent mesurer la différence entre des utilitaires avec ou sans fil : clavier et souris, téléphone fixe ou mobile, et les lampes ou autres appareils avec fiche sans prise de terre … c’est impressionnant !
Au même titre, qu’il est important de porter attention à ce que nous buvons ou mangeons, notre environnement électrique fait vraiment la différence.
À recommander sans hésiter.
MartineBernex (GE), Suisse
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Étudiant au gymnase, l’auteur a souffert d’une exposition constante aux ondes électromagnétiques : Wi-Fi, téléphones portables, écrans tactiles, antenne mobile proche… Rapidement, cette saturation l’a plongé dans un état de fatigue extrême, de somnolence et de désintérêt pour les cours, déjà peu stimulants. Les trajets en train et l’environnement scolaire ont accentué son mal-être jusqu’à l’épuisement complet, au point de quitter l’école après un mois. Depuis, il évite les lieux exposés aux ondes pour préserver sa santé. Il espère que son témoignage aidera d’autres personnes à reconnaître les signes d’une sensibilité électromagnétique et à agir avant qu’il ne soit trop tard.
MaximeGland, Suisse
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Ancienne consultante RH en recrutement dans le bassin alémanique, effectuant mes recherches par appels téléphoniques de 1994 - 2001 dans le canton de Genève, y compris en utilisant les premières générations de portables (sans oreillettes).
Quand les programmeurs des cartes à puces que je recrutais n'avaient pas de téléphone portable, je ne me suis pas posée de questions…
Mon hyper-sensibilité aux ondes artificielles s'est manifestée par des signes clairement ressentis physiquement sous forme d'irritabilité, agressivité, insomnie importante, à partir du déploiement des antennes 4G, 5G. (52 ans au moment des signes de trouble de plus en plus marqués) et cela a pris un virage exponentiel de douleurs variées à la tête, de manque de concentration sérieux et de brouillage de l'esprit en présence de wifi et de portables de dernière génération, dits « smart
LauraChallonges, France
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Ancien technicien cordiste, l’auteur a souvent travaillé sur des antennes de téléphonie mobile actives. Déjà sensible aux ondes électromagnétiques (maux de tête, mal-être), il développe à 28 ans un neurinome de l’acoustique, une tumeur bénigne du cerveau. Après une opération et une radiothérapie, il décide avec sa compagne de se protéger, ainsi que leurs enfants, des champs électromagnétiques (CEM) : suppression du micro-ondes, arrêt du Wi-Fi au profit du filaire, limitation du portable, etc. Refusant désormais tout travail à proximité d’antennes, il milite pour leur désactivation lors des interventions. Le couple a choisi leur maison loin de toute antenne et mène une procédure judiciaire contre l’installation d’un pylône 4G proche de chez eux, ainsi qu’un refus du compteur Linky. Une lutte engagée, mais loin d’être terminée.
VivienChallonges, France